LA MYSTIQUE EN ISLAM On remarquera la force elliptique de la mèditation mystique en Islam. Là ou Dieu est inacessible, elle veut l’atteindre par la semplicité la plus stricte, une seule Régle, un seul Voeu, un seul Directeur, une seule Oeuvre de miséricorde. Ce à quoi, ou fond, tout le foisonnement des règles, des voeux, des directeurs et intercesseurs, et des oeuvres de zèle, en chrétienté, finiront bien par se réduire. Je renvoie, pour la critique, aux considérations du fameux hadi^th “la^ rahba^niyyaata fi^l Isla^m”, “pas du monachisme en Isla^m”. Pour la psicologie du Fondateur de l’Islam, Je dirais brièvement ici que, sans insister autant que Ghazali sur la ferveur “amoureuse” de ses récollections solitaires au mont Hira^, il est difficile de nier la tendance mystique “militante” de la prière de cet orphelin de Dieu (Qur 78,22): sa tentative audacieuse d’intercéder pour sa “Communauté del Croyants” en restaurant la liturgie du sacrifice d’Abraham, son extase nocturne vers Jérusalem (et le Mihra^b de Zacharie: sa première “Qibla”, sa vénération pour la Shaha^da “pas de divinità exctepé Dieu”. Ce monde stoicien de raisonnement, ou l’universelle négative est empirique, non onthologìque, et pour e^tre trascendeée par la particulière positivement affermative (exceptè Dieu) ce Dieu qui est, mon pas la loi des lois, le démiurge grec, mais le Miracle de Miracles, le Dieu e Abraham, d’Isaac et de Jacob, comme disait Pascal. Si le Coran, puis la Sunna, avec les Hadi^th Qudsi^ ( qui représentent en réalités, les premiéres “locutions theopathique” ressenties dans leur coeur par les plus anciens mystiques musulmans, de Hasan Basri a Ibrahim ibn Edhem et Abdelwa^hid ibn Zayd, sont les sources fondamentales du lexique mystique musulman, – ce lexique purement sémitique de l’oraison priveé surérogatoire, subit “les test” des cultures ètrangères: à travers le syriaque, la culture philosophique hellénistique des écoles ascétiques crétiennes, la terminologie, aussi, des ascètes hindo-iraniens (bouddhisme athèè). Mais il est vain de de chercher dans les cultures étrangeres l’origine du mysticisme musulman. Aussi vain que la recherche des sources du mysticisme chrétien (que est issu des Esséniens), dans des textes hermétiques orphiques, ou avestiques, s’est avérée vain. Casalino Pierluigi. 9.10. 2010.

LA MYSTIQUE EN ISLAM On remarquera la force elliptique de la mèditation mystique en Islam. Là ou Dieu est inacessible, elle veut l’atteindre par la semplicité la plus stricte, une seule Régle, un seul Voeu, un seul Directeur, une seule Oeuvre de miséricorde. Ce à quoi, ou fond, tout le foisonnement des règles, des voeux, des directeurs et intercesseurs, et des oeuvres de zèle, en chrétienté, finiront bien par se réduire. Je renvoie, pour la critique, aux considérations du fameux hadi^th “la^ rahba^niyyaata fi^l Isla^m”, “pas du monachisme en Isla^m”. Pour la psicologie du Fondateur de l’Islam, Je dirais brièvement ici que, sans insister autant que Ghazali sur la ferveur “amoureuse” de ses récollections solitaires au mont Hira^, il est difficile de nier la tendance mystique “militante” de la prière de cet orphelin de Dieu (Qur 78,22): sa tentative audacieuse d’intercéder pour sa “Communauté del Croyants” en restaurant la liturgie du sacrifice d’Abraham, son extase nocturne vers Jérusalem (et le Mihra^b de Zacharie: sa première “Qibla”, sa vénération pour la Shaha^da “pas de divinità exctepé Dieu”. Ce monde stoicien de raisonnement, ou l’universelle négative est empirique, non onthologìque, et pour e^tre trascendeée par la particulière positivement affermative (exceptè Dieu) ce Dieu qui est, mon pas la loi des lois, le démiurge grec, mais le Miracle de Miracles, le Dieu e Abraham, d’Isaac et de Jacob, comme disait Pascal. Si le Coran, puis la Sunna, avec les Hadi^th Qudsi^ ( qui représentent en réalités, les premiéres “locutions theopathique” ressenties dans leur coeur par les plus anciens mystiques musulmans, de Hasan Basri a Ibrahim ibn Edhem et Abdelwa^hid ibn Zayd, sont les sources fondamentales du lexique mystique musulman, – ce lexique purement sémitique de l’oraison priveé surérogatoire, subit “les test” des cultures ètrangères: à travers le syriaque, la culture philosophique hellénistique des écoles ascétiques crétiennes, la terminologie, aussi, des ascètes hindo-iraniens (bouddhisme athèè). Mais il est vain de de chercher dans les cultures étrangeres l’origine du mysticisme musulman. Aussi vain que la recherche des sources du mysticisme chrétien (que est issu des Esséniens), dans des textes hermétiques orphiques, ou avestiques, s’est avérée vain. Casalino Pierluigi. 9.10. 2010.